D’où te vient ta passion culinaire?

Je la tiens surtout de ma mère. J’ai eu la chance de grandir dans un foyer où mes parents ont été capables de nous élever, mon frère, ma sœur et moi, avec un seul revenu. Étant le plus jeune, j’ai l’impression d’avoir eu un peu plus d’attention de la part de ma mère. C’était une cuisinière hors pair!!

Elle avait un livre de recettes écrit à la main. Son livre était aussi gros et aussi varié que le manuel du chef professionnel que j’utilisais à l’école de cuisine. Ma mère est décédée, mais mon père continue d’utiliser son livre de recettes tous les jours et il prépare des repas du tonnerre chaque fois que je lui rends visite.

Parle-nous un peu de ton expérience culinaire.

Mon aventure culinaire a commencé dans une chaîne de restaurants connue durant mes études secondaires. Après avoir été embauché comme plongeur, j’ai réussi à gravir les échelons en quelques mois pour devenir cuisinier à la chaîne. Après l’obtention de mon diplôme d’études secondaires, je me suis mis à travailler à temps plein. En moins d’un an, je suis devenu chef de cuisine adjoint, puis chef de cuisine affecté à deux établissements.

Après avoir travaillé pendant six ans pour cette chaîne, j’ai décidé d’aller acquérir plus de connaissances culinaires. J’ai travaillé pendant quelques années dans un hôtel local, un club de golf et dans un restaurant achalandé sur le bord de l’eau, à Halifax, dont le chef m’avait encouragé à postuler pour devenir apprenti.

J’ai fait la plus grande partie de ma formation officielle après avoir été embauché par un service de traiteur appelé Bonne Cuisine. La propriétaire était une chef formée selon la méthode classique en Angleterre. Elle avait le titre CCC et avait déjà présidé l’Association des chefs de la Nouvelle-Écosse. Après avoir été formé par elle durant quatre ans et avoir étudié à l’école culinaire, j’ai obtenu mon Sceau rouge en 1998 et j’ai découvert ma passion pour la cuisine savoureuse.

Après avoir été chef de restaurant pendant quelques années, je me suis dirigé vers les ventes de services alimentaires avec un courtier, puis je suis arrivé chez High Liner en 2008. J’entretiens toujours des liens étroits avec l’Association des chefs de la Nouvelle-Écosse et je les aide pour leurs réunions mensuelles et leur congrès en plus de prononcer à l’occasion des conférences sur le développement durable des produits de la mer sur différents campus dans la province.

Quel est le tout premier repas que tu te rappelles avoir préparé pour quelqu’un?

Mon premier souvenir clair remonte à mon premier quart de travail de la fête des Mères au restaurant de la chaîne. J’étais épaté par le degré d’organisation et le travail d’équipe nécessaires pour que chaque famille reparte avec le sourire ce jour-là après avoir mangé un bon repas. J’avais fait une journée de 13 heures et, au bout du compte, nous avions remonté les 300 places du restaurant 5 fois!

Quel est ton produit High Liner préféré?

Comme je viens de la côte Est, c’est tout naturellement nos pétoncles surgelés en mer. Ils sont à la fois simples et élégants, et peuvent servir de pièce de résistance grillée dans un plat exclusif ou comme hors-d’œuvre en céviché.

Quand je les cuis, je préfère les assaisonner d’un peu de sel marin grossier moulu et de poivre moulu et je les saisis dans une poêle très chaude avec un mélange de beurre et d’huile d’olive extra-vierge. Si vous les laissez un tout petit peu translucides au centre, ils fondent dans la bouche!

Brian Jobe fait partie d’une équipe de spécialistes en produits de la mer dans l’Est du Canada. Si vous avez besoin d’une rénovation sur le plan des produits de la mer, écrivez-nous ci-dessous ou écrivez à info@highlinerfoodservice.com. Nous nous ferons un plaisir de vous donner un coup de pouce.